Zoe Taaffe, comme le dit Nike, est "une sur un million". La Dunk Low de la jeune créatrice de baskets, qui s'inspire des passions de Zoe Taaffe et de son expérience de la lutte contre une maladie auto-immune extrêmement rare, en est la preuve. Taaffe admet que "personne ne pouvait relier les points jusqu'à ce qu'elle arrive à Doernbecher". Jusque-là, elle souffrait d'enflures, de toux, d'éruptions cutanées et de fièvre, qui se sont stabilisées après des transfusions de sang et de plasma, des stéroïdes et une chimiothérapie. Bien qu'il s'agisse d'une période éprouvante, la jeune fille de 17 ans est reconnaissante d'avoir pu voir de près la profession qu'elle a choisie, et elle envisage maintenant de poursuivre une carrière d'infirmière. Réalisé en collaboration avec Nike, le Dunk Low "Doernbecher Freestyle XVII" est d'abord une lettre d'amour à l'équipe favorite de la native de Tualatin : les Ducks de l'Oregon. Les couleurs jaunes et vertes sont appliquées en alternance sur le panneau central et sur les œillets, entre un imprimé zébré audacieux et personnalisé. Et en y regardant de plus près, le graphique révèle le nom de Zoe Taaffe ; les formes, elles aussi, célèbrent la créatrice, faisant subtilement référence aux vergetures que les stéroïdes susmentionnés ont provoquées. En outre, la chaussure offre une semelle extérieure phosphorescente, un symbole d'infirmière inspiré des Oregon Ducks, des Swooshes interchangeables et le mot "fearless" sur les lacets.